Agrégateur

« Provocation », « mépris », « agent de liaison avec le RN » : la gauche fustige la nomination de Sébastien Lecornu au poste de Premier ministre. Tandis que LFI promet la censure, LR se dit prêt à « trouver des accords »

«Provocation» et «exaspération»… L’opposition fustige le choix présidentiel à la veille de la mobilisation du 10 septembre, et se montre très sceptique sur la possibilité d’un accord sur le budget.

Venu de la droite, le macroniste d’adoption, qui a survécu à sept remaniements depuis 2017, a été nommé mardi 9 septembre à la tête du gouvernement.

Si les frontistes restent persuadés que la seule issue est une dissolution, certains d’entre eux veulent adopter une attitude constructive.

Quelques heures après avoir accepté la démission de François Bayrou mardi 9 septembre, le Président a choisi l’un de ses plus fidèles à Matignon, souvent pressenti comme Premier ministre mais jamais nommé. Une décision accueillie avec froideur par la gauche, l’extrême droite mais aussi une partie du camp présidentiel.

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