Agrégateur

Le parquet confirme à «Libé» qu’une autopsie est prévue ce lundi et qu’une enquête a été ouverte. Selon plusieurs médias locaux, Laurent Caillaud, 56 ans, est mort le 15 septembre après une soirée mêlant sexe et drogue dans un appartement à Tours.

Selon la préfecture, une femme 55 ans « s’était engagée sur une route inondée et elle s’est retrouvée bloquée dans son véhicule », lundi matin.

A la veille d’une reconnaissance de l’Etat palestinien devant l’ONU par plusieurs pays, dont la France, l’économie de Cisjordanie est mise à genoux par une série de mesures israéliennes de plus en plus drastiques.

« Nous considérons ces déclarations comme vides de sens », a réagi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Vendredi, la Russie avait nié avoir violé l’espace aérien de l’Estonie. Auparavant, des drones russes avaient été détectés au-dessus de la Pologne et de la Roumanie.

Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non :

• Sébastien Lecornu a menti sur son CV !
• 40 ans du TGV : une fierté française ?

Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "Reconnaissance de l'État palestinien, d'accord avec Macron ?" et "Record d'impopularité, Macron va-t-il tenir jusqu'au bout ? ", avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".

Dans une tribune au « Monde », la journaliste d’investigation alerte sur le sort des opposants au régime de Narendra Modi emprisonnés en Inde. Elle évoque notamment le cas d’Umar Khalid, leader de l’activisme étudiant, incarcéré depuis 2020.

Pour freiner le déclin de l’industrie, le Conseil des prélèvements obligatoires préconise de reprendre la baisse des impôts sur le secteur. Notamment en supprimant enfin la C3S, un impôt très décrié.

Pour débuter l'émission de ce lundi 22 septembre, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent du sujet du jour : Record d'impopularité, Macron va-t-il tenir jusqu'au bout ?

Côté israélien, les deux sons de cloche qu’on entend concernant «le jour d’après» sont soit la mise en place d’une administration militaire israélienne soit des déclarations incendiaires sur l’émigration forcée des Gazaouis et la recolonisation de la bande de Gaza. Comment, dans cette conjoncture, la France aurait-elle pu rester inactive ? interroge Denis Charbit, professeur de sciences politiques à l’Université ouverte d’Israël.

Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, a accusé Gabriel Zucman de mettre « au service de son idéologie […] une pseudo-compétence universitaire », le qualifiant de « militant d’extrême gauche ». Ce dernier lui a répondu

Pour débuter l'émission de ce lundi 22 septembre 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent du sujet du jour : Reconnaissance de l'État palestinien, d'accord avec Macron ?

Virginie Guichard est à la fois maire de la commune de Saint-Augustin-des-Bois (49) et vice-présidente de la communauté de communes Les Vallées du Haut-Anjou, où elle pilote les questions de transition, notamment énergétique. Un double mandat qui l’a conduite à soutenir la création d’une centrale photovoltaïque citoyenne sur son territoire avec Enercoop Pays de la Loire. Elle revient sur la genèse de cette démarche, ses ambitions et les dynamiques locales qui l’accompagnent.

Devenir sociétaire d’Enercoop, ce n’est pas un placement financier comme un autre. Ici, l’objectif n’est pas de spéculer ou de maximiser un retour sur investissement, mais de soutenir une entreprise coopérative qui agit pour l’intérêt général, dans un modèle transparent, démocratique et local.

Vous avez envie de vous impliquer concrètement dans la transition énergétique ? Devenir sociétaire d’Enercoop est un moyen simple et rapide de passer à l’action. En seulement quelques minutes, vous pouvez rejoindre une coopérative locale et participer à un projet citoyen, transparent et durable.

Face à l’urgence climatique et à la crise énergétique, la sobriété s’impose peu à peu dans le débat public. Loin d’être une injonction à «se serrer la ceinture», elle s’impose telle une stratégie cohérente et structurante pour bâtir un futur plus durable.

Et si la transition énergétique se jouait aussi grâce à des choix plus responsables ? À l’heure où l’on parle de plus en plus d’investissements verts, une autre voie se dessine : celle de l’énergie citoyenne. Un modèle qui permet aux particuliers, entreprises ou collectivités de s’impliquer directement dans la production d’énergie renouvelable locale, en devenant sociétaires de projets coopératifs.