« La loi promet un “droit à mourir” quand on n’a plus les moyens de garantir un droit à être soigné »
Dans une tribune au « Monde », la psychologue hospitalière Sara Piazza s’étonne qu’une large partie de la gauche considère l’aide active à mourir comme une cause progressiste. Elle y voit surtout une manière de pallier les carences du système de santé et craint une logique de tri qui s’effectuerait entre les existences dignes ou non de se poursuivre.