France - Libération - Economie

L’échec de Sébastien Lecornu à former un gouvernement stable a fait émerger des critiques au sein des rangs du Président. «CheckNews» fait le point sur les alliés d’Emmanuel Macron qui lui tournent désormais le dos.

Devant les assises du Maine-et-Loire, Al Khawad A., jugé pour avoir tué trois jeunes hommes à l’été 2022, a longtemps montré une attitude distante. Les experts psys ont brossé ce mercredi 8 octobre le portrait d’un homme aux failles multiples, permettant de retenir une altération du discernement.

La conseillère régionale Les Ecologistes avait été accusée de «port illégal» de l’étoffe réservée à certains élus. Mardi 7 octobre, le tribunal de Privas a abandonné les poursuites à son encontre, tandis que le chantier contesté se poursuit à l’ouest de Valence.

En misant sur ses liens avec le Hamas pour peser dans les négociations de paix, Ankara espère devenir un acteur incontournable du Moyen-Orient. Une ambition risquée, qui pourrait fragiliser le président Recep Tayyip Erdogan.

La mise à l’arrêt de l’administration fédérale, faute de vote de budget, met paradoxalement en évidence le rôle de l’Etat dans la prospérité américaine, n’en déplaise à Trump.

Après vingt-trois jours de grève de la faim, le père d’un jeune tué dans la tragédie ferroviaire en février 2023 vient d’obtenir l’exhumation de son corps.

Découvert au pied de son domicile parisien ce mercredi 8 octobre, il se serait montré agressif envers les pompiers et une patrouille de policier.

Victime de la croisade vengeresse du président américain contre ses adversaires, James Comey nie les accusations d’entrave à une commission d’enquête parlementaire et de fausses déclarations au Congrès.

L’attaque avait fait deux morts et trois blessés graves jeudi 2 octobre, lors de la fête juive de Yom Kippour. La police avait déjà indiqué que l’auteur avait vraisemblablement été «influencé par l’idéologie islamiste radicale».

L’Arabie Saoudite, la Jordanie et le Hamas ont condamné ce mercredi 8 octobre la provocation du ministre ultranationaliste qui, sur ce lieu saint de l’islam, s’est vanté d’une «victoire» israélienne.

L’Elysée affublerait l’ex-Premier ministre de ce surnom peu flatteur depuis qu’il s’est détourné de lui. Le personnage historique derrière cette figure n’a pourtant pas grand-chose à voir avec la situation politique.

La réunion de jeudi doit porter sur les principales modalités d’un processus de paix au Proche-Orient, en parallèle des négociations pour un cessez-le-feu qui se tiennent en Egypte.

Dans son nouveau roman, Adrien Genoudet fait trembler les frontières entre la réalité historique de la guerre d’Indochine et l’imagination, avec la correspondance entre une femme et son mari, séparés par le conflit.

Au troisième jour du procès en appel de Husamettin Dogan, à Nîmes, l’accusé a continué à nier tout viol, se présentant lui-même comme victime d’une manipulation. Une posture dénoncée vivement par la victime.

De Rembrandt à Vallotton en passant par Munch, l’exposition, visible jusqu’au 1er octobre à Paris, offre un surprenant inventaire des postures de l’abandon.

Le Parti socialiste attend notamment des garanties sur la suspension de la réforme des retraites, désormais envisagée parmi les macronistes.

Le quotidien britannique publie ce mercredi 8 octobre une liste (arrêtée au mois de juillet) de 18 457 mineurs tués par l’armée israélienne depuis le début de la guerre dans l’enclave palestinienne. Le bilan a depuis dépassé le stade des 20 000 morts.

Accusée d’avoir réduit en esclavage une adolescente yazidie au printemps 2015, Sonia Mejri va devenir la première française à être jugée, à une date encore indéterminée, pour ce crime passible de réclusion criminelle à perpétuité. La jeune victime se dit «prête à s’exprimer».

Plus de deux ans après l’attaque sanglante du Hamas, seuls 20 otages sont encore présumés vivants. Parmi eux, Gali et Ziv Berman, 28 ans, enlevés chez eux au kibboutz Kfar Aza et détenus séparément.

Depuis cet été, des adolescents circulent dans les rues de Varsovie ou Cracovie et interpellent les jeunes filles dont ils jugent la tenue ou l’attitude «provocantes», avant de partager les vidéos de leurs séances d’humiliation sur les réseaux sociaux. En face, des femmes répliquent avec leurs propres vidéos parodiques.