France - Libération - Economie

Après dix-sept ans passés dans le couloir de la mort à Jakarta, le Français est arrivé à Roissy ce mercredi 5 février à 10 heures. Il a été conduit au tribunal judiciaire de Bobigny, où il a été notifié de son incarcération.

Le président des Etats-Unis veut faire de l’enclave palestinienne la «Côte d’Azur» du Moyen-Orient. Provocation ou réel projet, Trump a provoqué une vague d’émoi mondiale. Ancienne correspondante en Israël, Alexandra Schwartzbrod analyse les possibles suites à ces déclarations dans une région qui est déjà une poudrière.

Après les déclarations mardi soir du président américain, qui veut faire partir les Gazaouis et transformer l’enclave palestinienne en «Côte d’Azur du Moyen-Orient», Paris a affirmé ce mercredi 5 février que «l’avenir de Gaza doit s’inscrire […] dans le cadre d’un futur Etat palestinien».

Un homme d’une vingtaine d’années a légèrement blessé trois agents de police en plein centre de Paris mardi 4 février. Le parquet national antiterroriste n’est pour l’instant pas saisi.

Le célèbre site religieux classé au patrimoine mondial est le témoin de comportements violents de primates devenus agressifs à force d’être nourris et provoqués par les visiteurs, notamment des Youtubeurs.

La déclaration choc du président américain, mardi, d’expulser tous les Palestiniens de l’enclave pour en faire «la Côte d’Azur du Moyen-Orient» pourrait mettre à mal le troisième échange d’otages prévu ce week-end et anéantir tous les plans de paix possibles.

Pour répondre à la volonté du président américain de réduire le poids du gouvernement fédéral, le service de renseignement américain a ouvert un guichet des départs et suspend les recrutements dès à présent, révèle le Wall Street Journal ce mercredi 5 février.

Habituée aux résultats mirifiques, l’entreprise française subit un revers financier qu’elle impute à une conjoncture économique peu favorable. Pour se remettre d’aplomb, elle prévoit d’investir plus dans les énergies fossiles, et moins dans la transition énergétique en 2025.

La rédaction de «Libération» compile les principales infos matinales de ce mercredi 5 février.

A l’issue d’un bras de fer judiciaire, la préfecture de l’Aube a accepté mardi 4 février que l’animal reste chez sa propriétaire qui l’avait recueillie. Des conditions strictes devront néanmoins être respectées et Rillette devra rester dans un enclos.

Respect du choix des éditeurs, traçabilité des sources et rémunérations pour les contenus sont les trois mesures préalables pour garantir des services d’IA générative fiable et le pluralisme de la presse nécessaires à la démocratie.

«Libé» vous guide dans les sorties cinéma de la semaine avec aussi «La Pampa», «Paddington au Pérou», «La Pampa», «Mon gâteau préféré», «La Chute du Ciel» et «The Flats». Bandes-annonces à l’appui.

Interviewé par Piers Morgan mardi 4 février, le président ukrainien a ouvert la porte à une rencontre en présence du dictateur russe afin «d’apporter la paix aux citoyens d’Ukraine».

Steve Witkoff, émissaire de Donald Trump pour le Moyen-Orient, a balayé mardi 4 février l’idée que la bande de Gaza puisse être habitable d’ici cinq ans, comme le prévoit l’accord de cessez-le-feu avec Israël.

Cherchant à assurer la pérennité du soutien américain face à l’ennemi russe, le président ukrainien a ouvert la porte, mardi 4 février, à une exploitation de ces ressources stratégiques.

Un an après l’engagement d’un nouveau plan crack pour l’Ile-de-France, l’Etat et la mairie de Paris se sont félicités ce mardi 4 février d’une sécurité retrouvée dans le nord de Paris. Pour les professionnels de santé, la répression du trafic doit s’accompagner d’une prise en charge accrue des consommateurs.

Un musée du Maryland, géré par la NSA, a volontairement dissimulé des panneaux retraçant l’apport de femmes et de personnes racisées à la cryptographie. Après un tollé, l’établissement a évoqué une «erreur» commise dans la précipitation pour répondre aux récents décrets présidentiels.

Le patron italien de Renault Group était interrogé ce mardi 4 février par la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale.

Bien parti pour ne pas être renversé mercredi et faire passer son budget, le Premier ministre va pouvoir ouvrir d’autres dossiers. Mais son capital politique reste faible et son bail toujours aussi précaire.

L’homme de main de Donald Trump, sans aucun mandat démocratique, démembre les agences gouvernementales américaines. Un coup de force administratif aux allures de coup d’Etat.