Le Conseil constitutionnel doit se prononcer dans les prochains jours sur le texte, définitivement adopté jeudi 10 juillet, visant à réformer l’élection des édiles des trois villes.
La statue d’Albert Pike, suprémaciste blanc et général de l’armée confédérée, avait été déboulonnée pendant une manifestation du mouvement Black Lives Matter en 2020. Sa restauration marque un pas de plus dans la réécriture de l’histoire américaine par les trumpistes.
En s’inventant héritière d’un richissime Américain, elle a réussi à convaincre le Tout-Paris de la Belle Epoque de lui prêter des millions. De quoi mener pendant presque vingt ans une vie de luxe bâtie sur du vent, jusqu’à un procès retentissant.
Le réalisateur-producteur à succès s’est dit prêt à réaliser plusieurs suites à sa saga de science-fiction. «Il n’y a pas de raison de ne pas le faire», s’entête-t-il. Alors que si, bien au contraire.
L’ancien chef de l’Etat congolais, absent du pays, est poursuivi devant la Haute Cour militaire. En s’attaquant à son prédécesseur, Félix Tshisekedi risque d’accroître les tensions au moment où se profile l’espoir de mettre un terme au conflit dans l’est du pays.
Cet été, avec la collection de la BNF, «Libé» s’ouvre aux photographes du pays-continent (17/30). Aujourd’hui, rencontre avec Elza Lima et les habitants des bords de l’Amazone, en pleine évolution.
Le nombre de personnels militaires russes séropositifs n’a cessé d’augmenter depuis le début de la guerre en Ukraine. La Russie figure aujourd’hui parmi les cinq premiers pays comptant le plus de nouvelles contaminations par le VIH.
Alors qu’une pétition contre la loi a recueilli plus de 2 millions de signatures, le Conseil constitutionnel, saisi par des élus de gauche, doit se prononcer ce jeudi sur la conformité du texte avec la Constitution. Une décision particulièrement attendue.
La taxation à 15 % voulue par l’administration Trump entre en vigueur ce jeudi. Des PME d’export, de vin et d’instruments de musique partagent à «Libé» leurs inquiétudes.
Jean-Christophe Féraud, Eva Fonteneau, Karl Pasquet, Ismérie Vergne
Les feux ravageurs de Gironde en 2022, ou les vagues d’incendies dans le Var en 1990 et 2003, figurent parmi les plus importants des décennies passées. Mais aucun n’a brûlé autant d’hectares à partir d’un seul foyer que celui en cours dans l’Aude.
Le feu d’une violence exceptionnelle s’est déclenché mardi 5 août pour une raison indéterminée dans le massif des Corbières, entre Narbonne et Carcassonne. Une personne est morte et treize autres ont été blessées.
Dans une lettre adressée ce mercredi 6 août à son Premier ministre, François Bayrou, le président de la République demande de plus amples mesures de rétorsion face à Alger, qui détient deux ressortissants français.
En l’absence de mesures fortes, des incendies monstres comme celui qui ravage le massif des Corbières depuis mardi 5 août pourraient se reproduire chaque année, sous l’effet du changement climatique.
Si les betteraviers voient un remède miracle contre les pucerons dans le pesticide controversé que la loi Duplomb a mis au centre des débats, apiculteurs et riverains, eux, s’interrogent voire s’inquiètent de ses effets.
Avec plus de 16 000 hectares brûlés et au moins un mort, le feu en cours dans la région de Narbonne depuis mardi est l’un des pires que la France ait connus. Pour les habitants, les touristes ou même les pompiers, impuissance et incompréhension s’installent.
Les incendies de Los Angeles, qui ont ravagé la ville en début d’année, ont largement fait grimper la facture, pointe ce mercredi 6 août le géant des assurances Swiss Re.
Le religieux musulman, responsable des lieux saints islamiques de Jérusalem, ne pourra plus accéder à la plus grande mosquée de la ville jusqu’au 25 janvier. Les autorités israéliennes lui reprochent un prêche mentionnant la famine à Gaza.