France - Libération - Economie

Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a lancé une opération militaire de grande ampleur contre l’Iran. L’armée de l’air a mobilisé près de 200 avions de chasse pour frapper une centaine de cibles dans tout le pays.

Avant les attaques israéliennes qui ont visé l’Iran cette nuit, un compte X a relevé un pic de fréquentation dans les pizzerias proches du Pentagone. De quoi alimenter une théorie selon laquelle les pizzas pourraient prédire l’avenir.

A New York, Phoenix ou Los Angeles, les agents de l’immigration, électrisés par la cruelle politique du chiffre de Donald Trump, orchestrent des rafles aux audiences de régularisation, distillant la terreur.

La présidence voit d’un mauvais œil la proposition de loi portée par Gabriel Attal élevant l’officier, faussement accusé de trahison, au rang de «général de brigade». Voté début juin à l’Assemblée, le texte doit maintenant être débattu par les sénateurs. Son avenir est incertain.

Entouré de pays arabes, Israël a fait passer ses aéronefs dans la nuit de jeudi 12 à vendredi 13 juin vers l’Iran par la Syrie, dont les moyens de défense sont moribonds, puis le nord de l’Irak.

Officiellement menée sans soutien opérationnel de Washington, l’attaque israélienne contre Téhéran constitue un test pour le président américain. Qui pourrait à son tour hériter d’une guerre meurtrière au Moyen-Orient.

L’Etat hébreu a lancé très tôt ce vendredi 13 juin l’opération «Rising Lion». «Libé» résume les différents événements depuis le début de journée.

Plus de 200 organisations syndicales, sociétés de journalistiques et journalistes indépendants exigent que l’Etat français se mobilise au plus vite pour que cesse la détention du reporter qui avait embarqué à bord du «Madleen» dans le cadre de la mission civile Freedom Flotilla.

Le Landais, déjà connu des services de police, encourt dix ans d’emprisonnement et 750 000 euros d’amende. Il comparaîtra en novembre devant le tribunal correctionnel de Mont-de-Marsan.

A travers son ouvrage «la Banlieue du Turfu», Makan Fofana nourrit une réflexion sur les conceptions du futur dans les banlieues et les quartiers populaires. Un imaginaire qui anime de nombreux artistes et designers.

Après les attaques israéliennes contre plusieurs sites en Iran, Hamdam Mostafavi, directrice adjointe de la rédaction et spécialiste du Moyen-Orient, faisait le point sur la situation, ce vendredi 13 juin.

Le service de renseignement financier du ministère chargé de lutter contre les circuits financiers clandestins, le blanchiment d’argent ou le financement du terrorisme se félicite de l’écoute des banques. Mais blâme le foot-business… et le peu d’allant des avocats.

Poussé par l’ouverture à la concurrence, l’opérateur national italien, qui fait déjà rouler des trains sur l’axe Paris-Lyon, lance ce week-end une nouvelle offre légèrement moins chère que la SNCF pour la seconde classe.

L’athlète de 29 ans au parcours bosselé espère glaner, samedi 14 juin, son premier or aux Mondiaux de judo, à Budapest. Avant les JO de Los Angeles, où elle rêve de se qualifier sur les tatamis… et en rugby à VII.

Les frappes aériennes de précision menées par l’Etat hébreu ont été appuyées par des opérations secrètes de sabotage sur le sol iranien, selon deux responsables israéliens. Une attaque d’une ampleur inédite depuis la guerre Iran-Irak dans les années 80.

La rédaction de «Libération» récapitule les principales actualités de la journée du jour.

La conférence de l’ONU sur l’océan s’est achevée ce vendredi 13 juin sur la Côte d’Azur. Avec, à la clé, beaucoup d’engagements, peu d’avancées concrètes, hormis une salve de ratifications du traité sur la haute mer, qui devrait permettre une entrée en vigueur de cet accord en 2026 et la création d’une nouvelle COP.

Pour la première fois en 2025, un premier cas autochtone de la maladie infectieuse a été détecté mercredi dans la commune de La Crau.

Pour le politologue Nemanja Todorovic Stiplija, le président serbe pratique une diplomatie «d’équilibriste», entre soutien timide à Kyiv pour plaire à Bruxelles et volonté de ne pas froisser la Russie.

L’idée fait son chemin dans les partis de droite, entre ceux qui l’envisagent franchement et ceux où elle reste encore minoritaire.