Renseignement : le gendarme de la surveillance en quête de moyens humains et techniques
Si 2024 a été une année «maîtrisée» en termes d’activité des espions français, la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement estime qu’elle atteint «les limites de sa capacité» à exercer sa mission, et déplore des «anomalies persistantes» dans l’usage des outils de surveillance.