Bruno Retailleau adoube le collectif d’extrême droite Némésis, dont il partage le «combat»
Le ministre de l’Intérieur s’est dit mardi 21 janvier «très proche» du «combat» de ces «féministes identitaires», proches de toutes les sphères d’extrême droite possibles et imaginables. Avant de prendre ses distances le 24 janvier.